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Mésaventures mécaniques lors du rallye Léman/Méditerranée - retour d'expérience
Citation de Denis VASDEBONCOEUR le 3 octobre 2024, 17h46En route pour Valberg à partir de Barcelonnette, je roulais bon train sur cette route de montagne avec ma C-GT quand, perte de puissance subite ! Je débraille et accélère tout semble normal, je continue ma route quelques centaines de mètres puis arrêt moteur. J’ai juste assez d’élan pour me mettre à cheval sur le bas-côté de cette route de col étroite. Après plusieurs tentatives infructueuse de redémarrage, je décide de remplacer la bobine, sans résultat…J’en déduis que c’est la pompe à essence. J’en ai une dans le coffre de la voiture, mais pas question de la changer sur un bas-côté peu accueillant. Appel à l’assistance, faute de réseau, André Frick qui me suivait me descend à Barcelonnette pour que je puisse appeler ! 3h00 plus tard j’étais dépanné. Cette fin heureuse est la combinaison de la solidarité entre membres du club, de la disponibilité de pièces essentielles dans la voiture (pompe à essence, tête d’allumeur, voir un allumeur complet, bobine d’allumage.), ces pièces ne sont pas d’un coût excessif et logent facilement dans le coffre de nos autos et enfin une bonne assistance ! Mais, ce n’est pas le fin de l’histoire ! En effet, rentrant de ce rallye en direction de la bourgogne par l’autoroute, avec une forte chaleur, je décide de faire une halte technique sur une aire de station. Au moment de redémarrer le solénoïde du démarreur claque bien mais le démarreur ne tourne pas ! Après avoir attendu qu’il refroidisse, capot levé, sans résultat, je décide d’arroser le démarreur avec ma bouteille de Badois, eurêka, je redémarre ! Le démarreur chaud demande plus de puissance électrique, le refroidir brutalement peut être une solution. Le problème fut réglé définitivement le lendemains par le remplacement d’un cosse de batterie « vieillissante ».
En route pour Valberg à partir de Barcelonnette, je roulais bon train sur cette route de montagne avec ma C-GT quand, perte de puissance subite ! Je débraille et accélère tout semble normal, je continue ma route quelques centaines de mètres puis arrêt moteur. J’ai juste assez d’élan pour me mettre à cheval sur le bas-côté de cette route de col étroite. Après plusieurs tentatives infructueuse de redémarrage, je décide de remplacer la bobine, sans résultat…J’en déduis que c’est la pompe à essence. J’en ai une dans le coffre de la voiture, mais pas question de la changer sur un bas-côté peu accueillant. Appel à l’assistance, faute de réseau, André Frick qui me suivait me descend à Barcelonnette pour que je puisse appeler ! 3h00 plus tard j’étais dépanné. Cette fin heureuse est la combinaison de la solidarité entre membres du club, de la disponibilité de pièces essentielles dans la voiture (pompe à essence, tête d’allumeur, voir un allumeur complet, bobine d’allumage.), ces pièces ne sont pas d’un coût excessif et logent facilement dans le coffre de nos autos et enfin une bonne assistance ! Mais, ce n’est pas le fin de l’histoire ! En effet, rentrant de ce rallye en direction de la bourgogne par l’autoroute, avec une forte chaleur, je décide de faire une halte technique sur une aire de station. Au moment de redémarrer le solénoïde du démarreur claque bien mais le démarreur ne tourne pas ! Après avoir attendu qu’il refroidisse, capot levé, sans résultat, je décide d’arroser le démarreur avec ma bouteille de Badois, eurêka, je redémarre ! Le démarreur chaud demande plus de puissance électrique, le refroidir brutalement peut être une solution. Le problème fut réglé définitivement le lendemains par le remplacement d’un cosse de batterie « vieillissante ».